La flore alpine est de plus en plus à l'étroit en haute altitude selon une étude de l'Université de Vienne et l'Institut WSL.
Cette « fuite vers le haut » est une réaction typique à la température en constante augmentation, à l’apport accru de nutriments sous forme de dépôts atmosphériques, et à l’allongement de la période de végétation.
Les données de répartition de 193 espèces dans les Alpes autrichiennes, suisses, italiennes, slovènes et allemandes ont été étudiées.
En moyenne, les espèces se sont déplacées de 20 à 35 m vers le haut.